La classe politique qu’on mérite ?

C’est dans les périodes de crise profonde que les citoyens d’un pays devraient pouvoir compter sur la solidité des hommes et des femmes qui les gouvernent. Hélas, trois fois hélas…

Il n’est pas dans la vocation de ce blog de commenter la vie politique de notre pays.  Chacun ses compétences, son plaisir, son registre… Mais la capacité de vivre ensemble, d’ensemble affronter l’avenir dans un monde en mutation profonde, lourd de menaces, est un enjeu à la fois profondément politique , au sens noble du terme, et naturellement de nature « éthique ».

Le revirement gouvernemental sur la taxe carbone est une calamité. Une faute majeure. Une forme de suicide de la classe politique. Je ne sais pas si la « taxe carbone » telle que prévue initialement était techniquement une bonne décision.  Mais alerter l’opinion sur les gaspillages et le saccage de la planète était assurément un acte de courage. Quoi qu’il en soit des querelles scientifiques du moment sur le fait de savoir si le réchauffement climatique est le fait de l’homme ou de cycles naturels.

La « destination universelle des biens » chère à la doctrine sociale de l’Eglise, aujourd’hui ratifiée dans toutes les instances internationales, plaide pour l’adoption dans nos pays développés, d’une croissance sobre dont nous ne ferions pas porter le poids aux plus modestes. Difficile équation, mais enfin, l’enjeu est colossal. Or, face à cela, voilà qu’en l’affaire de quelques mois la « taxe carbone » nous est présentée par le chef de l’Etat comme une ardente obligation, une « révolution » aussi nécessaire et fondatrice que l’abolition de la peine de mort… avant de sombrer dans les coulisses de l’histoire !

Triste spectacle. Il fallait, semble-t-il, donner des gages à la majorité UMP après la déculottée des régionales. Peut-être ! Ca, c’est de la « politique-politicienne » aux petits pieds ! Comme la droite et la gauche s’en sont montrés les orfèvres, chacun à son tour. Mais comment ne pas voir l’effet désastreux d’un tel revirement aux yeux de l’opinion ? Même celles et ceux qui ne voulaient pas de la taxe carbone jugent sévèrement, au-delà d’une secrète satisfaction, l’incapacité de nos dirigeants à tenir leurs engagements. Pourquoi ne reculeraient-ils pas demain, sur les retraites  ou sur tel autre dossier majeur ?

On dit qu’un pays a la classe politique qu’il mérite. Pauvre de nous !

14 comments

  • Je suis tenté d’interpréter l’absence totale de commentaires en une semaine comme une approbation résignée et triste…

  • Parler de déculottée à propos d’une sévère défaite électorale est un terme injurieux à l’encontre du chef de l’Etat élu démocratiquement, et à l’égard des électeurs. Je m’étonne de trouver de tels propos dans un journal modéré. Ceci ajouté aux nombreuses atteintes à la démocratie dans la vie politique et aux libertés individuelles dans la vie quotidienne, ceci fait que l’opinion se radicalise de plus en plus et se porte vers les extrèmes, aux détriment de la Droite Républicaine, certes, mais aussi aux détriments de la démocratie. Et pourquoi crier « haro sur le baudet », parce que la taxe carbone,tant décriée, jugée injuste, inapplicable et inéfficace est finalement retirée ? Ce que Nicolas Sarkozy a fait pour l’écologie, il l’a fait tout seul, et sans soutien aucun… D’autres auraient pû le faire, ils l’auraient fait mieux disent-ils, mais voilà, ILS NE L’ONT PAS FAIT !

  • Ce jugement est sévère. Est-il juste ? Est-il pertinent ?
    René Poujol averti bien que son blog n’a pas pour vocation de commenter la politique.
    Et voilà qu’Anne ne le commente que sur cet aspect. Quelle lecture rétrécie et partisane !
    « Lecteur…et acolyte » reste prudent… et provocant !
    J’essaye de suivre l’actualité politique en privilégiant le point de vue proposé par l’actualité économique et financière.
    Ce qui me frappe particulièrement, jour après jour, c’est que tous les professeurs et spécialistes de ces domaines laissent percer derrière leur fatuité une incompréhension de tout ce qu’ils tentent d’expliquer qui montre finalement leur incompétence.
    La taxe carbone n’est qu’une demi-mesure. Elle aurait pu avoir des vertus pédagogiques si elle avait été mise au service d’une action en rupture avec nos manières de vivre. Quoiqu’en puisse dire Michel Rocard, je crains que cette vive intelligence n’a pas affirmé assez clairement ce qu’il pense réellement. Trop politique. À vouloir ménager les sensibilités de droite et de gauche pour faire passer ses premières idées sans affoler les populations, il a perdu une occasion de bousculer radicalement les esprits. Au risque d’échouer ? Mais c’est bien ce qui est entrain de se passer !
    Comment demander à nos gouvernants actuels, qui agissent sans s’embarrasser de réflexions en s’en remettant pour cela à ces prétendus « experts », de penser le monde autrement qu’on leur a appris.
    Au cas où on ne l’aurait pas encore compris, je crois qu’il faut réaffirmer, encore et encore, que le monde est entré dans un état de crise. Et que, ce sur quoi il faut travailler, ce n’est pas l’explication des causes de cette crise mais la compréhension de ses raisons.
    Parce que, expliquer les causes, c’est en même temps dire qu’il suffira, les connaissant mieux, d’agir pour les modifier et revenir à l’état ancien. En le modifiant un peu ?
    Rechercher les raisons, c’est un tout autre travail qui pose des questions de fond sur les prémisses qui fondent nos modèles de représentation du monde global et complexe dans lequel nous vivons désormais.
    Pour utiliser une métaphore : toutes nos représentations actuelles du monde sont à la réalité contemporaine, ce que le géocentrisme a été à l’héliocentrisme. Il nous faut faire une révolution copernicienne.
    Un seul exemple pratique : nous savons tous que la spéculation sur les monnaies est une vilenie parce qu’elle conduit à des violences extrêmes sur ceux qui n’y peuvent mais, et une stupidité parce qu’elle provoque des dérégulations qui mettent en péril le système même qui leur permet d’être. Il faut donc supprimer la possibilité de spéculer sur les monnaies. Comment ? Ben voyons, en mettant en place UNE SEULE MONNAIE sur la planète.
    Utopie, me direz-vous ? Que n’a-t-on entendu avant la mise en place de l’euro !
    Et, en conclusion, un rappel : tout ce que nous trouvons sur cette planète est gratuit.
    Cela nous a été donné sans que nous y soyons pour rien. (Luc 12/22-32)
    Mais, c’est vrai, il faut aller le chercher. Et ça coûte. À qui ?
    Qui sème, cultive, élève, pèche, etc. pour que nous mangions tous les jours ?
    En France 5 % des actifs !
    Qui extrait, transforme, usine, produit, etc. pour que nous puissions vivre selon nos besoins et surtout nos désirs ?
    En France, 40 % des actifs.
    Les autres, environ la moitié de la population, arrivent à vivre. Même les retraités.
    Beaucoup en tirant le diable par la queue. Quelques-uns dans un luxe et un faste qui n’indigne plus grand monde ! Nos politiques ne seraient-ils pas tentés d’en faire partie ?
    Mais, c’est à cela qu’ils pensent. Tout le temps. Et cela n’est pas une question.

    Oui, René, ton jugement est juste ! Oui, il est pertinent. Mais, il n’est pas assez radical.

  • « C’est dans un temps où il lui fallait se réformer ou se briser que notre peuple fit appel pour la première fois à la République.
    Elle était la souveraineté du peuple, l’appel de la liberté, l’espérance de la justice.
    Elle devait rester tout cela au cours des péripéties agitées de son histoire. »

    Ce texte date de quand et est de qui ?

    Ma réponse dans quelques temps, … si personne ne trouve avant.

  • La classe politique qu’on mérite ? Points de vue de Marco Polano, 1/8 :
    Bonjour Monsieur Réné Poujol, « Le bateau ivre » que vous nous décrivez si habilement même mal mené va atteindre le rivage « à l’endroit où il se rendait ». Vous le dite parfaitement bien : « On dit qu’un pays a la classe politique qu’il mérite. Pauvre de nous ! ».
    Pauvre de nous, si notre société était totalement divisé. Pour pouvoir évoluer « dans le meilleur des mondes », nous devons avoir « des intérêts communs ».
    Monsieur Réné Poujol, vous le dite parfaitement bien : …/… la capacité de vivre ensemble, d’ensemble affronter l’avenir dans un monde en mutation profonde, lourd de menaces, est un enjeu à la fois profondément politique, au sens noble du terme, et naturellement de nature « éthique ».
    Des intérêts tout autres, que ceux utilisé jusqu’à présent dans « la surexploitation par l’argent roi » des ressources de « NOTRE Environnement Naturel et Humain ».
    Où est « le sauveur », pour protéger les plus petits, les plus vulnérables comme les jeunes, les vieux, les handicapés, les malades et les plus démunies dans « NOTRE Environnement Naturel et Humain ».
    En dehors d’une frange de la population dans nos sociétés qui se cherchent.
    La grande majorité, heureusement sait vivre en adulte responsable et respectable. En tenant bon dans ces fondamentaux. « Grâce à Dieu ! » par l’exemplarité de femmes et d’hommes de bonnes volontés.
    Alors que malheureusement, la tentation est grande devant des intérêts financiers colossaux pour « une minorité », face au plus grand nombre : Les histoires d’environnement doivent restées secondaire aux yeux de certains affairistes peu scrupuleux (mafieux, corrompus…) tant que le gaspillage et le saccage de la planète permet de faire des profits plus intéressant sans être obligé d’investir dans la sauvegarde de « Notre planète ». Pourquoi changer ce qui leurs rapporte beaucoup plus. Conserver et même renforcer leurs stratégies économiques est plus sûr pour eux, face à la concurrence qui ne fait que de surenchérir. Et puis, gagner des parts de marcher déloyalement (tout les coups sont permis, c’est la guerre), c’est aussi grisant pour leurs « super égaux».

  • La classe politique qu’on mérite ? Points de vue de Marco Polano, 2/8 :
    Les relations par personnes interpose ou par procuration ne pourront jamais remplacer une relation d’amitié ou d’amour en se donnant pour que la relation puissent exister pleinement.
    Certes, nos relations par objets interposé ne pourront jamais rivalisé en qualité et profondeur.
    Que cela soit par internet sur un blog, ou par un bulletin de vote dans une urne pour des élections en politique.
    Cela étant dit, notre avenir dans nos sociétés démocratique d’une part est entre les mains de décideurs politique et de d’autre part dans notre capacité individuelle et collective à nous ajuster aux besoins personnels et collectifs.
    C’est aussi une question de suspicion ou de confiance. A nous de pouvoir discerné, choisir et agir en âme et conscience. La place d’un esprit de groupe, d’une éducation, d’une culture est donc forte utile dans une société regroupant un nombre important de personnes provenant de divers horizons. Cela est une grande richesse qu’il faut pouvoir unifier pour des causes communes, comme « la destination universelle des biens ».
    La notion de « bien commun » doit être clairement défini et entretenu par la transmission dans nos sociétés très industrialisé, administré et médiatisé.
    Pour ma part, la première notion laïque de « biens communs » sont :
    La liberté, l’égalité et la fraternité, en accord avec la paix, la justice et la miséricorde.
    La libre circulation et la sécurité des personnes et des biens, en étroite relation avec la protection de « NOTRE Environnement Naturel et Humain »
    Les droits à la santé, à l’éducation, au travail et à la retraite. Sont des acquits qui sont fondé sur une vie en société. Dans laquelle les personnes ont capitalisé en commun une part de leurs ressources en créant une chaîne de solidarité dans le temps entre les classes sociales et les générations.
    Pour que celle-ci ne puissent pas se rompre notre civisme dans toute les classes sociales, doit être exemplaire (sans faille et sans reproche).
    Nous devons donc avoir en contre partie des devoirs et de la reconnaissance pour ceux qui nous gouverne et font prospérer nos sociétés dans nos valeurs communes.

  • La classe politique qu’on mérite ? Points de vue de Marco Polano, 3/8 :
    « Le désenchantement » serait de pensé que les valeurs que sont le travail, la famille, la culture avec des relations d’attention et de respect partagé avec les autres membres de nos sociétés ne sont pas fondamentales pour un « avenir radieux ».
    Pourquoi ? D’où viennent les causes ? Qu’elles en sont les effets, à court et loin terme ?
    Sommes-nous donc devenus auto-suffisant, Imbu de nous même. Avec un Moi, un EGO surdimensionné ?
    Avec des idées comme :
    « Je produis, donc j’ai ma place au soleil ».
    « Je consomme, donc je suis quelqu’un».
    « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé ».
    Avec nos limites et nos fragilités, que devons nous faire pour redresser la barre à titre personnel et collectif ?

  • La classe politique qu’on mérite ? Points de vue de Marco Polano, 4/8 :
    Aussi « La faim justifie les moyens » tant que la « destination universelle des biens » passera aux yeux de l’opinion, comme des ressources qui vont dans la poche tout naturellement et librement de ceux qui « se donnent les moyens d’en tirer profit à très court terme ».
    En négligeant (fermant les yeux) malheureusement, que ces affairistes sont peu scrupuleux pour se sentir concerné par le coté « Universel » dans le bon sens du terme qui consiste à veiller aux partages et à la pérennité de ces ressources dans « NOTRE Environnement Naturel et Humain ».
    Je n’ai donc pas de doute. L’ignorance et la bêtise sont les attributs des « superbes » pour dénaturer ce que veut dire « relatif au tout, à l’ensemble ».
    En appliquant convenablement cette définition du mot « universel », cela permet de faire honnêtement des affaires (en donnant certains droits. Mais précautionneusement, avec certaines craintes. Et respectueusement, avec certains devoirs) dans « NOTRE Environnement Naturel et Humain ».
    Avec un tel comportement avisé et responsable, nous pourrons garder nos droits dans « Notre Environnement » qui sera viable et durable. Car nous l’aurons sauvegardé, protéger, entretenu et respecté comme il se le doit.

  • La classe politique qu’on mérite ? Points de vue de Marco Polano, 5/8 :
    « Où est passé le bon sens universel, je vous le demande ? »
    DIEU SEUL (LE TOUT : L’ALPHA ET L’OMEGA, LE SAINT DES SAINTS, LE ROI DES ROIS…) LE SAIS AVEC CEUX QUI L’ECOUTENT JOUR ET NUIT. AFIN DE POUVOIR AVANCER EN CONFIANCE DANS LEURS HUMBLES VIES.
    Comme Jésus-Christ le dit (Jean 6, 30-35) : « Moi, je suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n’aura plus jamais faim ; celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif. »
    « La FOI Chrétienne » pour ma part, est un don gratuit de Dieu pour nous aider à être en bonne relation dans notre environnement avec les hommes et la création. En faisant la volonté du Père, l’œuvre du Fils, par le Saint-Esprit qui nous conduit à la vie éternelle.
    Dans Prions en Eglise du 16/04/2010, Sœur Emmanuelle Billoteau nous rappelle que « …/… Dieu n’opère rien sans nous. Mais du peu que nous lui offrons, il fait merveille. »
    Dans « la paix du Christ » par notre foi qui est grâce et don de Dieu, faisons sans relâche de belles œuvres dans nos vies, en bon gestionnaire des dons reçus. Et en « bon Samaritain », nous pourrons à notre tour par notre exemple, aider avec l’aide de Dieu, l’égaré ou le désespéré.

  • La classe politique qu’on mérite ? Points de vue de Marco Polano, 6/8 :
    Et qui sais, Monsieur JC.Herrenschmidt ?
    Parce que « les blessés de la vie », « les laissés pour comptes » et « les malades mentaux » ne seront plus livrés à eux même, il n’y aura plus besoin de prison ni de peine de mort sur la planète.
    Il n’y aura plus de « paradis fiscaux », ni de « sacs plastiques » dans la nature.
    Il n’y aura plus de « bombes nucléaires », de terroristes, de kami kas, de mafieux ou de « dangereux voleurs de poules, sur nos chemins de travers ».
    D’accord avec vous, Monsieur JC.Herrenschmidt : « UNE SEULE MONNAIE sur la planète » pourra être par exemple une résultante de tout le labeur qui nous attend, guidé par nos cœurs réconcilié grâce à l’AMOUR DE DIEU dans « NOTRE Environnement Naturel et Humain ».
    Alors « si Dieu le veux », notre barque à la place de prendre l’eau, si nous savons le prier et l’écouter, sera remplie à craquer « d’une pêche miraculeuse ».
    Et nous saurons mieux nous accueillir, nous rencontrés pour « partager un repas de noce, dans la JOIE et la PAIX du CHRIST-RESSUCITE ». Car nous pouvons mieux nous relever les uns les autres, de nos peines et de nos malheurs.

  • La classe politique qu’on mérite ? Points de vue de Marco Polano, 7/8 :
    Alors ce jour là, dans « le meilleur des mondes, NOTRE Environnement Naturel et Humain » aura plus de prix qu’en a actuellement sa « surexploitation par l’argent roi » au mépris de « la destination universelle des biens ».
    Et lorsqu’un petit enfant naitra dans un tel monde, il sera mieux accueilli et accompagné. Etape par étape, jusqu’à ce qu’il devienne à son tour un véritable adulte, responsable et redevable à « NOTRE Environnement Naturel et Humain ». Alors qu’au même moment, un vieux sage après avoir réussit à « porter du fruit » en cheminant durant toute son existence avec « La Bonne nouvelle » dans son cœur, laissera derrière lui des générations enchantés.
    Tout ceux-ci en est le signe. Témoignant de la présence et de l’AMOUR DE DIEU dans nos vies devenues à notre tour, dons et source de Dieu.
    « le péché originel d’Aden et d’Eve » n’aura plus de prise sur nos actions par la reconnaissance de l’œuvre de Jésus dans nos vies. Et nous pourrons mieux savoir honorer la mémoire de nos ancêtres. En continuant à lutter à leurs places contre nos indifférences, nos suffisances et nos peurs.
    Le péché, c’est de rater la cible ! Ici c’est une cible commune. Et la ratée, se serait un péché communautaire, très lourd de conséquence.
    Serons-nous tous à la hauteur, pour continuer à lutter dignement, en gardant un cap qui conduise vers notre salut commun ?

  • La classe politique qu’on mérite ? Points de vue de Marco Polano, 8/8 :
    Dans les faits divers, notre Président de la République souhaite affirmer l’autorité de l’Etat dans le « 93 » par le nouveau préfet. Où est « Super Nani » pour lui donner un petit coup de main ?
    Et sa volonté de supprimer les allocations familiale en cas d’absentéisme scolaire est critiquée de toute parts. Quel aurait pu être l’avis de « Super Nani » à ce sujet ?
    Lorsqu’une famille est en danger de naufrage, qui va leurs lancé la bouée de sauvetage en leurs portant secours et assistance ?
    Le 22/04/2010 à Chambéry, le chef de l’Etat dévoilera une plaque à la Cour d’appel pour commémorer le rattachement de la Savoie à la France avec un discours sur l’identité nationale. Et celui ci sera salué, par un pied de nez au nuage islandais, par quatre Mirage F1-CR de l’Escadron 2/33 Savoie basé à Reims. Nous avons su nous défendre et nous protéger les uns les autres. Les cendres du volcan de l’Eyjafjöll en Islande ne nous menacent plus. Les risques naturels existent quand même et nous devons vivre avec. Comme ce fameux « effet papillon » d’un point à l’autre de la planète.
    Je fini en partageant ma joie avec toutes les familles salésiennes (religieux, religieuses et laïcs), à l’occasion du quatrième centenaire de l’ordre monastique de la Visitation du diocèse d’Annecy, fondé par Saint François de Sales et Jeanne de Chantal en 1610.

  • Simplement, la citation que je vous ai donnée plus haut est de Charles de Gaulle (début de l’exorde du discours pour la présentation de la 5ème république).

    PS : si je connais ce texte, c’est parce que j’ai fait une partie de mes études secondaires dans un pays francophone hors la France : on y étudiait l’orateur en question, comparé aux classiques latins ou grecs, il y a quelques temps déjà …

  • Merci de nous rappeler Charles de Gaulle, lui qui mettait la France au dessus de tout; pourtant en France on veut ignorer ce passé , l’enfouir pour ne pas avoir à être comparé, alors que de nombreux pays nous l’ont envié. Mais son œuvre reste et il est dommageable que certains enseignants s’opposent à l’introduction de l’étude des œuvres du Général dans les programmes scolaires. J’espère qu’on l’étudie à Sciences PO. Même mort il semble gêner bien des consciences!

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