Ma «Manif» à moi… 3/5 : Eglise, le débat impossible

Ma «Manif» à moi… 3/5 : Eglise, le débat impossible

L’Eglise catholique pouvait-elle éviter le piège de cette réforme de société ? D’évidence, elle n’y est pas parvenue ! 

(Il y a eu trois ans ce 12 février 2016, l’Assemblée nationale adoptait la loi Taubira en première lecture. Un débat auquel j’ai consacré, dans ce blogue, une bonne vingtaine d’articles, sans jamais être tenté d’en faire une relecture globale. Pour son livre L’humain plus fort que le marché (Ed. Salvator) Virginie Tellenne, alias Frigide Barjot, m’a demandé de revisiter, en répondant à ses questions, la manière dont j’avais vécu ces événements de 2012-2014. Je lui en suis reconnaissant. C’est cet entretien que je propose, aujourd’hui, sur mon blogue, en intégralité et en cinq épisodes, avec l’accord des Editions Salvator. Moins pour relancer un débat qui est loin d’être clos que pour témoigner d’un itinéraire.)

… suite de l’entretien 3/5

Virginie Tellenne : Qu’est-ce que ce mouvement a représenté, signifié dans votre vie de chrétien ?

René Poujol : Difficile de répondre en quelques phrases, mais allons à l’essentiel. J’ai vécu ces événements comme un véritable ébranlement personnel. C’est si vrai qu’à la veille de l’été 2013 j’ai décidé d’interrompre l’écriture de mon blogue, le temps d’y voir plus clair en moi-même…

Lorsqu’avec mes amis d’à la Table des chrétiens de gauche nous avons pris, à l’automne 2012, bien en amont des premières mobilisations, l’initiative du manifeste déjà évoqué, nous nous sommes situés en chrétiens, naturellement soucieux de participer à un débat citoyen dont l’enjeu nous semblait important puisqu’il y allait de la symbolique même du mariage et, à terme, du risque de marchandisation du vivant via la PMA et la GPA. Naïvement, nous nous sommes situés sur le terrain de la «raison» et du débat intellectuel. Sans nous rendre compte que nous étions les seuls ou presque à choisir ce registre. Je sais gré à mon ami Jean-Louis Schlegel de m’avoir ouvert les yeux, quelques mois plus tard, alors que je pestais contre l’attitude sectaire de la commission parlementaire, en m’écrivant dans une «lettre ouverte» : «Les députés ne vont pas se situer à notre hauteur de questionnement. Ils sont là pour défendre une loi donnant des libertés et des droits nouveaux (1) Il avait raison ! A aucun moment nous ne sommes parvenus à ébranler dans l’opinion l’idée simple qu’ouvrir le mariage aux homosexuels leur conférait une égalité de droits qui ne portait tort à personne.

J’ai été troublé que des amis chrétiens puissent me dire que c’était au nom même de leur foi qu’ils étaient favorables à la loi Taubira. Je me souviens leur avoir répondu, dans un article : «C’est au nom de l’Evangile que nous nous voulons respectueux des personnes homosexuelles, que nous entendons lutter contre toute forme de mépris, d’homophobie et de discrimination. Ce qui n’oblige nullement un «passage obligé» par le mariage pour tous qui, lui, procède d’un choix politique et non d’une exigence découlant de la foi.» (2) J’avais en tête l’alternative possible d’un contrat d’union civile, à l’allemande, dont d’évidence le gouvernement ne voulait pas. Ce soutien à la loi Taubira, au nom de l’Evangile, a été la position constante et sans appel de Témoignage Chrétien que, du coup, après un ultime échange public avec Jean-Pierre Mignard (3) j’ai cessé d’acheter et de lire. Même si le journal m’avait ponctuellement ouvert les colonnes de sa lettre hebdomadaire. Je n’acceptais pas ce que je percevais comme le refus de prendre en compte la diversité de positionnement des chrétiens «d’ouverture» qu’il prétendait par ailleurs représenter.

M’a également perturbé l’affirmation selon laquelle, nous chrétiens, n’avions pas à nous opposer à des évolutions de société mais simplement à vivre chrétiennement les lois de la Cité. Comme citoyen, au nom de quoi aurais-je dû renoncer à participer à la délibération démocratique, aussi longtemps que la «loi de la Cité» était précisément en cours d’élaboration ? Aujourd’hui, alors que le mariage pour tous est institué, je m’applique, sans état d’âme, à vivre chrétiennement cette réalité-là. Je compte, parmi mes amis et connaissances, des couples homosexuels, mariés ou non, et je n’ai jamais lu chez eux  une quelconque réprobation sur mon comportement durant cette période, même si nous avons eu des désaccords. Mais plus profondément, ce discours continue de me sembler réactionnaire. Car enfin, faudrait-il se contenter de vivre chrétiennement : l’exploitation des salariés dans les entreprises, la sujétion des femmes, l’exclusion des pauvres et des réfugiés, l’injustice faite au Tiers-Monde, le saccage de la planète… lorsqu’ils découlent de lois objectives ou de vides juridiques ? Cette idée me semble être à l’opposé de la doctrine sociale de l’Eglise dont se réclament pourtant ceux-là même qui l’expriment et à laquelle je suis viscéralement attaché. Mais c’est vis-à-vis de l’épiscopat que mes griefs se sont cristallisés au fil des mois.

Qu’est-ce qui vous a gêné dans l’attitude des évêques ?  

Contrairement à certains de mes amis, je peux comprendre que la Cef (Conférence des évêques de France) n’ait pas pris l’initiative de «consulter» les fidèles sur la question du mariage pour tous avant de prendre position sur le projet de loi. La consultation ne fait pas partie de la culture catholique. L’idée sous-jacente est que l’Eglise n’est pas une démocratie et que la Vérité n’a pas à être mise en délibéré. Même si l’on peut discuter l’axiome selon lequel le magistère, qui a évolué sur bien des points au cours des âges, se confondrait avec La Vérité, par nature intangible, que seule l’autorité ecclésiastique saurait interpréter. Mais l’enseignement de l’Eglise catholique sur la question homosexuelle étant ce qu’il est, je ne vois pas comment des évêques auraient pu prendre le risque de le mettre publiquement en débat.

LMPT SEULE EXPRESSION «LEGITIME» DES CATHOLIQUES

Pour autant, je leur en veux d’avoir fermé les yeux sur la diversité des sensibilités qui existaient au sein même des catholiques pratiquants dont 41% se disaient favorables à la loi Taubira. (4) Comme si ce choix même en faisait de mauvais chrétiens dont l’opinion «non éclairée» n’avait pas à être prise en considération. Je leur en veux d’avoir donné le sentiment de se ranger quasi unanimement derrière LMPT comme seule expression légitime des catholiques dans ce débat. Soit, pour une minorité d’entre eux, en se joignant ouvertement aux cortèges ; soit, pour les autres, en se réfugiant dans le silence ; soit encore en laissant certains de leurs prêtres prendre fait et cause, lors des messes dominicales, pour les manifs de rue.

Le 23 janvier 2014, à quelques jours de la manifestation, quatrième du nom, organisée simultanément à Paris et Lyon, le cardinal Philippe Barbarin écrivait dans une tribune publiée dans la Croix : «Chez les «anti-mariage pour tous», on observe désormais deux groupes qui s’opposent : les «jusqu’auboutistes», capables d’organiser une manifestation nommée «jour de colère» avec l’envie d’en découdre, et les «à-quoi-bonistes», qui considèrent que, la grande bataille du mariage étant perdue, il faut passer à autre chose…» En indiquant, dans la foulée, sa participation au défilé de rue du 2 février suivant, il donnait à penser que, pour un chrétien conséquent, LMPT et sa demande d’abrogation de la loi Taubira était, au fond, la seule option.

Je lui avais objecté, dans le courrier des lecteurs du même quotidien, qu’à mes yeux la position de l’Avenir pour tous demandant l’instauration d’un contrat d’union civile, était également une attitude de non-résignation, sur laquelle pouvaient se retrouver nombre de catholiques. Si j’évoque aujourd’hui cette anecdote ce n’est pas pour stigmatiser le cardinal archevêque de Lyon mais pour illustrer le raisonnement qui, durant toute cette période a prévalu, du fait même du silence d’une majorité des évêques. A l’exception notable des réserves sévères de Mgr Claude Dagens, formulées dès avril 2013, et de la prise de position de Mgr Hippolyte Simon expliquant, huit jours après le cardinal Barbarin, les raisons pour lesquelles il ne descendrait pas, lui, dans la rue pour manifester. (5),

NE PAS DESESPERER VERSAILLES, NEUILLY… PARIS

Puis-je risquer une analyse ? Obsédés par le vieillissement des fidèles et la baisse de la pratique religieuse, les évêques ont été tétanisés à l’idée de se démarquer tant soit peu d’un mouvement, LMPT, qui leur semblait porté par les «forces vives» des paroisses, des nouveaux mouvements, des générations Jean-Paul II et Benoît XVI et soutenu par leur jeune clergé. Il ne fallait surtout pas «désespérer» Versailles, Neuilly… Paris et quelques autres diocèses de Province ! La presse et les médias catholiques ont, dans l’ensemble, adopté la même attitude prudentielle pour des raisons similaires : ne pas froisser leur cœur de cible et surtout pas leur public de conquête, souvent plus jeune, avide de réassurance. (6) Certains titres ont témoigné de plus d’ouverture dans leurs pages courrier des lecteurs que dans les articles propres à la rédaction. C’est ainsi, chère Virginie Tellenne, que vous-même et les idées que vous défendiez à l’Avenir pour tous, avez été sacrifiés sur l’autel de l’unanimisme catholique incarné, après votre rupture, par la seule «LMPT maintenue».

C’est si vrai que lorsque le 2 octobre 2014, à trois jours de la cinquième Manif pour tous, le nouveau Président de la Conférence des évêques de France, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, déclare à la Croix : «La Manif pour tous n’étant pas un mouvement d’Eglise, il n’est pas dans mon rôle de commenter leur choix politique de manifester dans les rues.» Jean-Marie Guénois fulmine dans les colonnes du Figaro. Il écrit : «L’Eglise de France coupe les ponts et prend une distance définitive avec LMPT»  avant de conclure par une volontaire dramatisation : «Alors que s’est levée une jeune génération de catholiques, ce pasteur choisit de la laisser orpheline. Ces jeunes s’organisent aujourd’hui seuls, loin de l’épiscopat. L’Eglise de France se coupe là, et pour longtemps, de ses forces vives.» (7) D’évidence l‘expression le «choix politique de manifester dans les rues» passe mal, qui casse l’image, un peu irénique, du sursaut populaire spontané et de la résistance spirituelle à l’Etat totalitaire ! Même si cette analyse, paradoxalement, est partagée par certains membres de la direction de LMPT, comme je souhaite pouvoir l’expliquer plus loin dans notre échange.

Enfin, et pour en terminer avec ce «ressenti» vis-à-vis de mon Eglise, je regrette que l’épiscopat ait à ce point sous-estimé la gravité des divisions nées des événements comme de son mutisme. Je n’ignore pas la complexité de la situation à laquelle il a dû faire face. Jamais pourtant l’illusion de pouvoir se réfugier dans le silence pour «ne pas diviser le peuple chrétien» s’est avérée aussi vaine. Car lorsque quelques évêques choisissent de s’exprimer, le silence de ceux qui se taisent, dont chacun sait pourtant le désaccord, devient aussi une forme de parole et un égal facteur de divisions.

Vous disiez comprendre que la Cef n’ait pas pris l’initiative de consulter les fidèles. Et en même temps vous semblez regretter qu’il n’y ait eu aucun débat interne à l’Eglise.

Dans son évangile, saint Matthieu écrit au chapitre 5 : «Si donc tu présentes ton offrande à l’autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande et va d’abord te réconcilier avec ton frère…» (8) J’ai en mémoire des dizaines de témoignages d’amis ou de connaissances, qui, sur cette période, ont vécu les messes dominicales dans leur paroisse, au bord de la crise de nerf, parce que la manif pour tous avait investi : l’affichage sous le porche de l’église, l’homélie, la prière universelle et les annonces de la semaine ! Et ils devaient néanmoins échanger un «geste de paix» avec leur voisin dont ils savaient qu’ils étaient en désaccord total sur l’engagement quasi officiel de l’Eglise catholique dans ces manifestations de rue.

Or, le plus souvent, personne ne leur a proposé la moindre rencontre pour dialoguer, s’expliquer, tenter de comprendre la position des uns et des autres. Lors de la première session du Synode sur la Famille, au mois d’octobre 2014, Mgr Georges Pontier a été interrogé, à Rome, sur les enseignements que l’Eglise de France tirait d’un mouvement qui a surpris, par son ampleur, dans toute l’Europe. Evoquant cette question d’un débat nécessaire, il a reconnu, fort justement, qu’il n’est de débat possible qu’à partir du moment où le désir de débattre existe, ce qui suppose que chacun veuille bien admettre que celui qui ne pense pas comme lui n’a pas forcément tout faux ! Et il poursuivait : «Si on n’arrive pas, en Eglise, à déplacer la notion de rapport de force, de ceux qui sont les plus nombreux, on ne peut pas arriver au débat.» (9) Est-il exagéré de dire que, durant cette période, ceux qui ont semblé être «les plus nombreux» et n’avoir aucune envie de voir le rapport de force s’inverser, au sein de leur communauté, étaient les militants et sympathisants de LMPT ?

DEUX TEXTES DE L’EPISCOPAT QUI SE CONTREDISENT

Est-il exagéré de dire qu’au sein même de l’épiscopat, le rapport de force a joué en faveur de ceux qui ne voulaient pas du débat ? Il est, de ce point de vue, un fait particulièrement révélateur. Dans la perspective du vote parlementaire, le Conseil famille et société de la Cef a publié un premier document en septembre 2012 précisément intitulé «Ouvrons le débat» (10). Un deuxième a suivi le vote de la loi, le 4 juin 2013, avec un titre tout aussi prometteur «Poursuivons le dialogue» (11) Or, non seulement ce second document ne représentait aucune évolution significative par rapport au premier, mais sur certains points il était même en retrait, alors même que la société française venait, elle, de faire un pas en avant, quoi que l’on puisse en penser sur le fond.

En septembre 2012, nombre d’observateurs avaient souligné, comme novateur dans la pensée de l’Eglise, le passage du document épiscopal où il était signifié qu’il peut «exister d’autres relations d’amour» qu’entre homme et femme qui «ouvrent à un autre type de fécondité, la fécondité sociale». Rien de tel dans le nouveau texte où ce type de «fécondité sociale» était certes mentionné et valorisé, mais uniquement dans le cadre de… relations d’amitié vécues dans la chasteté ! L’Histoire aimant à se répéter nous avons vécu exactement la même marche arrière, sur le même sujet, à la session du synode romain sur la famille d’octobre 2014, entre le document intermédiaire et la synthèse finale.

Ajoutons, pour faire bonne mesure que les deux documents de la Cef qui avaient mobilisé l’énergie de divers théologiens dont la compétence ne pouvait être mise en cause, sont sortis, à neuf mois d’intervalle, dans la plus totale et volontaire discrétion, pour ne pas heurter l’aile dure de l’épiscopat. Avenue de Breteuil, siège de la Cef, certains n’ont guère goûté que des journalistes catholiques, dont je suis, aient levé le lièvre. (12)

UN IMPOSSIBLE DEBAT

Et l’on pourrait, dans la foulée, évoquer le travail remarquable accompli, dans le plus grand secret mais avec l’assentiment du cardinal André Vingt-trois, au collège des Bernardins, sous la direction du père Antoine Guggenheim. Le 4 avril 2013, dans le cadre d’une soirée-débat organisée en lien avec les Semaines sociales de France, il analyse que ces questions liées à l’homosexualité exigent «une révision colossale dans l’Eglise». Il ne soupçonne pas, alors, le vent de tempête qu’il vient de soulever. Lorsque le 11 octobre 2014 la Croix rapporte des propos où il évoque l’idée d’une «bénédiction» pour les couples homosexuels, dont le synode sur la famille pourrait se saisir, la coupe déborde. Pour le clergé parisien, c’est plus qu’il n’en peut supporter. Il est clair que le directeur de la recherche au collège des Bernardins n’a pu s’exprimer là «qu’à titre purement personnel».

Comment imaginer alors le moindre débat dans les communautés chrétiennes et entre l’Eglise et la société, lorsque les éléments qui pourraient le nourrir sont à ce point verrouillés ? Comment ne pas donner le sentiment du refus même de tout débat lorsque le texte, peut-être maladroit, du frère dominicain Lionel Gentric, se disant simplement troublé d’une «unanimité de façade» de son Eglise sur cette question, se trouve soudainement enlevé du site où il avait été publié et son auteur invité à ne plus s’exprimer ?

Deux ans après le vote de la Loi Taubira, il est encore impossible, dans certains lieux d’Eglise, d’admettre le simple fait que des hommes, des femmes, vivent aujourd’hui en couple, hors de tout vagabondage sexuel, qu’ils peuvent s’aimer dans la fidélité et une forme de fécondité, et que cet amour nous interroge sur la lecture que nous faisons des Ecritures. Certes le magistère de l’Eglise catholique refuse toute institutionnalisation du couple homosexuel. Mais il s’agit ici de la loi civile, dans un pays laïque. Alors, pourquoi un tel acharnement de LMPT à réclamer l’abrogation pure et simple de la Loi Taubira sans proposer la moindre alternative, alors même que, comme l’a montré une enquête interne, sortie par mes soins de la confidentialité, (13) près des deux tiers de ses militants valident la légitimité d’une conjugalité homosexuelle, même s’ils restent réservés sur les questions de filiation ?

 

(Prochain article 4/5 : Préserver les droits de l’enfant)

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  1. Blogue A la table des chrétiens de gauche, 3 décembre 2012
  2. Blogue du 20 janvier 2013
  3. Blogue 16 avril 2014
  4. Sondage Ifop pour Pèlerin. Un an après le vote de la loi ils étaient 46%.
  5. Dans lacroix.com du 31 janvier 2014 Mgr Simon explique ne pas vouloir contribuer à confessionaliser une manifestation dont il dit comprendre par ailleurs les motivations. Quelques mois plus tôt, en plein cœur de la mobilisation anti loi Taubira, Mgr Dagens avait publié dans la Croix du 21 avril 2013, une tribune intitulée : «Le catholicisme intransigeant, une tentation permanente.»
  6. A l’exception notable de Famille Chrétienne qui, avec une belle constance, a pris fait et cause pour l’aile la plus intransigeante de LMPT.
  7. Le Figaro du 3 octobre 2014
  8. Mt 5, 23-24
  9. News.Va du 18 octobre 2014
  10. Elargir le mariage aux personnes de même sexe ? Ouvrons le débat. Disponible sur le site de la Cef.
  11. Egalement disponible sur le site de la Cef.
  12. La Lettre des SSF n°71, Juillet 2013, p. 4.
  13. Blogue du 23 janvier 2015 repris sur le site de Rue89.

 

© Editions Salvator – René Poujol

 

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(J’invite le lecteur de ce blogue à poursuivre la réflexion sur un débat emblématique, bien loin d’être clos, en se reportant au livre de Virginie Tellenne : L’humain plus fort que le marché (Ed. Salvator) qui contient une dizaine de contributions.)