Ma «Manif» à moi… 5/5 : Abroger, ne pas abroger…

Ma «Manif» à moi… 5/5 : Abroger, ne pas abroger…


L’abrogation n’est pas mon combat mais il y a quelque naïveté à croire que le débat autour de la loi Taubira serait clos.

(Il y a eu trois ans ce 12 février 2016, l’Assemblée nationale adoptait la loi Taubira en première lecture. Un débat auquel j’ai consacré, dans ce blogue, une bonne vingtaine d’articles, sans jamais être tenté d’en faire une relecture globale. Pour son livre L’humain plus fort que le marché (Ed. Salvator) Virginie Tellenne, alias Frigide Barjot, m’a demandé de revisiter, en répondant à ses questions, la manière dont j’avais vécu ces événements de 2012-2014. Je lui en suis reconnaissant. C’est cet entretien que je propose, aujourd’hui, sur mon blogue, en intégralité et en cinq épisodes, avec l’accord des Editions Salvator. Moins pour relancer un débat qui est loin d’être clos que pour témoigner d’un itinéraire.)

… fin de l’entretien 5/5

Virginie Tellenne : Tout ceci nous conduit forcément à la question du «que faire» ? Quelle place ces questions doivent-elles tenir, selon vous, dans le débat politique qui nous sépare de la prochaine présidentielle ? Vous-même quel rôle êtes-vous décidé à jouer pour retrouver l’ampleur de la mobilisation de 2013 ?

René Poujol : Au risque de vous froisser ou de vous décevoir, je vous dirai que votre seconde question est pour moi sans objet. L’ampleur de la mobilisation de 2013 tient aux circonstances. Imaginer programmer sa réplique, de manière volontariste, me semble totalement illusoire. Vous savez, comme moi, la part d’ambiguité que comportait ce mouvement puisqu’une même hostilité au mariage pour tous masquait un vrai clivage concernant la légitimité d’instituer le couple homosexuel à égalité de droits – hormis la filiation – avec le couple hétérosexuel. Or LMPT s’est toujours refusée à évoquer, publiquement, la possibilité d’une alternative à l’abrogation de la loi Taubira, dont elle ne voulait pas, à travers votre proposition de constitutionnalisation du mariage homme-femme.

Très honnêtement je ne vois pas les Français descendre demain dans la rue, de manière massive, pour dénoncer une menace de légalisation de la GPA dont l’initiative serait, au demeurant, politiquement bien risquée. Et pas davantage pour en demander l’interdiction au niveau international. Il est toujours plus facile de mobiliser «contre» que «pour». Et je crains qu’après les déchirements que nous avons connus, ce ne soit pas demain la veille que les Français, de gauche comme de droite, cathos ou non, enfin réconciliés, descendent dans la rue pour manifester ensemble contre la GPA. On ne fait pas la manif monstre du 11 janvier 2015 contre les attentats de Paris, par décision volontariste. Je ne nourris donc personnellement aucun fantasme de «faire revivre» l’épopée de 2013 dont j’ai d’ailleurs choisi, à un certain moment, de me désolidariser.

Mais je veux être, à ce propos, tout à fait honnête. On peut me faire valoir – et certains l’ont fait – que je me suis finalement donné le beau rôle, à peu de frais, en expliquant à plusieurs reprises pourquoi je ne m’associerais pas aux manifestations de rues. Je m’étais prononcé contre la loi Taubira et, pour reprendre la terminologie du cardinal Barbarin, je me rangeais frileusement dans le camp des à-quoi-bonistes, laissant les autres aller au charbon ! Comme me l’écrivait sans ménagement un internaute, j’étais un «planqué de l’arrière». Or si le gouvernement avait finalement reculé sur la loi famille, éloignant tout risque de voir la PMA-GPA revenir dans le débat parlementaire ; si François Hollande avait renoncé à passer en force sur la fin de vie, acceptant un projet de loi pour le coup assez consensuel, n’était-ce pas à mettre au crédit de celles et ceux qui s’étaient compromis, eux, à descendre dans la rue ?

J’accepte l’objection. Je demande simplement qu’on me fasse crédit d’avoir voulu, en cette affaire, me situer «en vérité» par rapport à ma conscience. Or, encore une fois dès lors que la loi était votée il m’était impossible d’en réclamer l’abrogation pure et simple sans signifier, d’une manière ou d’une autre, aux personnes homosexuelles, que j’entendais leur demande d’être reconnues dans leur désir de couple et de famille, malgré mes réserves sur les questions de filiation. Et c’est bien cette position, médiane, qui m’a rapproché de l’Avenir pour tous, même s’il n’était pas dans mon tempérament de m’y engager de manière militante. Je prends le risque d’affirmer aujourd’hui qu’il n’est pas neutre, vis à vis de l’opinion publique, que des chrétiens se soient également compromis sur ce positionnement-là !

Contrairement à d’autres, j’ai volontairement renoncé à me situer dans une logique de stratégie politique, au bénéfice d’une attitude essentiellement éthique, même si elle a été peu opératoire, dans une période où l’on n’existait qu’à la condition de choisir son camp. Certains de mes amis ont interprété mon attitude comme la volonté, un peu naïve, de jouer le médiateur entre les uns et les autres. C’est une erreur. Je n’ai joué aucune médiation et n’ai jamais songé à le faire. Simplement j’ai essayé d’être honnête envers moi-même, dans un contexte où semblait prévaloir une logique de rapports de force. Que l’on me reconnaisse au moins cette sincérité-là !

DEUX LIGNES DE FORCE AU SEIN DE LMPT

J’observe d’ailleurs, avec satisfaction, qu’une forme de clarification s’est opérée au sein même de LMPT. Dans un article de son blogue daté du 17 novembre 2014 et intitulé «L’apaisement est la meilleure des méthodes» Koz, champion de la blogosphère catholique, et soutien inconditionnel de LMPT écrivait : «Si l’apaisement est la meilleure des méthodes et le consensus toujours préférable à la division, alors il faut explorer sérieusement la voie de la dissociation du mariage et de la filiation l’adoption.» C’est exactement la position que je défendais, dès 2013, et qui, si ma mémoire est bonne, m’avait alors valu de sa part le commentaire que si l’idée était défendable, il n’était pas stratégiquement opportun de l’exprimer, alors même que le combat pour l’abrogation pouvait être gagné.

Mais tout aussi intéressante est la réponse que lui apportait, deux jours plus tard, sur le site Cahiers LibresGuillaume de Prémare, qui a été président de LMPT. Pour lui, ce compromis reviendrait à «renoncer à affirmer que le mariage, comme principe et comme institution, est l’union d’un homme et d’une femme». Or, rappelle-t-il : «Si nous remontons aux origines de la Manif pour tous, celle-ci ne s’est pas levée uniquement pour défendre les droits de l’enfant, mais aussi le mariage civil homme-femme et la famille». A ses yeux, il y a donc d’autant moins de raisons de vouloir transiger avec l’abrogation de la loi Taubira qu’elle ne repose sur aucune légitimité populaire profonde mais sanctionne simplement la victoire tacticienne d’un lobby gay soutenu par les médias.

Quelques semaines plus tôt, se faisant l’écho de la polémique suscitée par les propos de Mgr Pontier déjà cités : «La Manif pour tous n’étant pas un mouvement d’Eglise, il n’est pas de mon rôle de commenter leur choix politique de manifester dans les rues.» le même Guillaume de Prémare commentait de manière surprenante mais parfaitement cohérente : «La Manif pour tous est un mouvement non-confessionnel et a fait un choix politique : celui d’agir par des manifestations de masse, avec la réussite que l’on sait. C’est encore un choix politique libre d’avoir décidé de poursuivre la mobilisation après le vote de la loi Taubira, de continuer à porter le fer sur les conséquences de ladite loi (notamment PMA et GPA), d’élargir son combat à l’ensemble de la thématique familiale. Un choix payant qui illustre la maturité politique de LMPT et sa maîtrise stratégique.» (1)

Dont on peut conclure, sans polémiquer, que si LMPT a bénéficié, un temps, sans broncher, du soutien plus ou moins officieux de l’épiscopat, elle n’entend pas se soumettre à une quelconque tutelle ecclésiastique, au moment où le vent semble tourner à la Cef, les laïcs chrétiens étant libres de leurs engagements civils. Ce qui est parfaitement exact !

Je crois qu’il faut avoir ces évolutions en tête avant de s’interroger sur les échéances politiques à venir.

Revenons à la première partie de ma question. Pensez-vous que ces thèmes tiendront une grande place dans la campagne de la présidentielle en 2017 ?

Pour reprendre une expression qui a eu son heure de gloire : «Je ne suis pas madame Irma». J’observe que LMPT a changé ses statuts de manière à pouvoir peser dans le débat, vraisemblablement dans le sens suggéré par Guillaume de Prémare. J’observe de même qu’un an après sa création Sens Commun a réussi ce tour de force, le 15 novembre 2014, d’auditionner publiquement les trois candidats à la présidence de l’UMP devenue, par la suite, les Républicains. Comme beaucoup, j’ai été abasourdi, ce jour-là, d’entendre Nicolas Sarkozi répondre aux slogans : «Abrogation, abrogation…» des militants, par un : «si ça vous fait plaisir, franchement, ça ne coûte pas très cher…»  J’observe, de scrutin en scrutin, le pourcentage croissant de militants issus de LMPT et plus généralement de catholiques, souvent jeunes, qui disent voter sans état d’âme pour le Front National. J’observe, enfin, votre propre détermination, par moment un peu désespérée, à trouver un relais politique pour «porter» sur ces questions, une exigence éthique en faveur de la famille et de la filiation sans nier pour autant les acquis des personnes homosexuelles, ce qui confirme vos divergences avec LMPT. Cette multiplicité de positionnements n’aide pas à la clarté sur la capacité des uns et des autres à faire prévaloir leurs idées dans le débat pré-électoral.

Cela étant, nous ne sommes pas encore à l’échéance de la présidentielle. Bien malin qui peut dire quels thèmes prévaudront, alors même que les menaces s’accumulent sur l’Europe et notre propre pays face à la montée du terrorisme islamiste, aux vagues migratoires, et à la fragilité économique de la zone Euro. Mais, comme l’ont bien analysé quelques auteurs, dans des ouvrages récents (2) je pense que les thématiques portées par les événements de 2012-2013, contribueront d’une manière forte au débat pré-électoral. Dans son roman Soumission, qui a soulevé la polémique, Michel Houellebecq imagine l’arrivée à l’Elysée, en 2022, d’un président musulman. Je ne crois pas que la question soit d’actualité, mais je voudrais citer ici, l’attendu de cette victoire romanesque, telle qu’explicitée dans les pages du livre : «Le véritable trait de génie du leader musulman avait été de comprendre que les élections ne se joueraient pas sur le terrain de l’économie, mais sur celui des valeurs, et que, là aussi, la droite s’apprêtait à gagner la «bataille des idées», sans même d’ailleurs avoir à combattre.»

LE COMBAT D’ESPRIT CIVIQUE ET DES POISSONS ROSES

J’ai évoqué l’impact de la mobilisation sur les partis de droite. Je dois dire mon effarement en ce qui concerne la gauche où le sentiment dominant reste que la loi Taubira est une réforme de civilisation emblématique du quinquennat, marquant une victoire historique et irréversible du principe républicain d’égalité. Une réforme qui serait aujourd’hui pleinement acceptée dans le pays, ne poserait aucun problème éthique, et qu’il suffirait demain de la compléter en ouvrant aux couples de même sexe l’accès à la PMA voire, pour certains, à la GPA. J’ai écrit, à maintes reprises, depuis l’automne 2012, mon incompréhension de voir une gauche prétendument anti-libérale épouser aussi naïvement et j’ajouterais lâchement, toutes les dérives de la marchandisation du vivant et du nihilisme libertaire.

Dans un article de mon blogue en date du 22 novembre 2012, souvent repris, je listais ce qui me semblait être une série de contradictions des partis de gauche face à ce qui n’était encore qu’un projet de loi. J’en citerai deux : «Dites-moi pourquoi la gauche qui prône le développement de la parité homme-femme dans toutes les institutions, considère que le mariage serait la seule où il serait «progressiste» de faire marche arrière ? Dites-moi pourquoi le principe de précaution, si impératif pour le maïs transgénique ou les gaz de schistes, deviendrait sans objet lorsqu’il s’agit de la venue au monde, via la procréation médicalement assistée ou les mères porteuses d’un «petit d’homme» ?» 

A gauche, je ne vois guère qu’Esprit Civique dans le monde parlementaire, et les Poissons roses à l’intérieur du Parti socialiste, qui aient réellement pris la mesure de l’autisme de leurs camarades sur ces questions. J’ai de la sympathie pour les uns et les autres, mais je suis bien obligé de constater qu’à ce jour ils n’ont aucunement réussi à ébranler la conviction de leur famille politique, de continuer à mener, dans le champ des réformes de société, un combat émancipateur.

Voilà où j’en suis, moi, le «catho de gauche», à l’heure de cet entretien, à la veille de l’été 2015. A supposer que cette formulation ait encore quelque pertinence. Mais pour finir de répondre à votre question, et à titre d’ultime provocation, je vous dirai ceci, dans la perspective de la future présidentielle. Pas plus demain qu’hier je n’entends me laisser enfermer dans un discours sur le «non-négociable». C’est assez dire que mon souci n’est pas de savoir quelle famille ou quel candidat de droite j’envisage de rallier. Pour ma part je fais mienne, la conclusion de Laurent Bouvet dans son livre déjà cité : «L’insécurité culturelle, et le populisme contemporain qui prend partout appui sur elle, ne seront vaincus qu’à la condition que nous acceptions que ce qui nous est «commun» a plus d’importance et de valeur que ce qui nous est propre, identitaire et immédiatement avantageux. C’est le choix politique que nous avons à faire aujourd’hui, ensemble.» (3)

Il est une dernière question que je voudrais aborder avec vous, quel doit être, aujourd’hui, le rôle de l’Eglise catholique ?

D’ouvrir enfin le dialogue au sein même des communautés chrétiennes dont Philippe Clanché a bien su décrire les divisions et les déchirures dans son livre Mariage pour tous, divorce chez les cathos. (4) Car, contrairement à certaines analyses lues ici ou là dans la presse catholique, à l’occasion du deuxième anniversaire de la Loi Taubira, je crois qu’hélas les tensions ne se sont pas apaisées. Parce que les blessures demeurent profondes et que, d’une certaine manière, les travaux préparatoires aux deux session du synode romain sur la famille, abordant les mêmes thèmes, ont à nouveau cristallisé les mêmes oppositions. Redisons, ici, que sur ces questions, les chrétiens restent partagés, et qu’il n’est pas «chrétien» pour le coup de ne leur offrir aucun lieu où se rencontrer, se connaître, s’expliquer, entrer dans l’intelligence de la pensée de l’autre, indépendamment de ce que peut enseigner le magistère de l’Eglise catholique qui, de toute manière, n’est pas «reçu» unanimement comme faisant autorité sur ces questions, à plus forte raison lorsqu’il s’agit de la loi civile.

JE ME SUI BATTU POUR DES IDEES QUI ME SEMBLAIENT JUSTES

On doit au sociologue Yann Raison du Cleuziou, à l’initiative de l’association Confrontations, héritière de l’ancien Centre catholique des intellectuels français, un ouvrage passionnant sur les catholiques aujourd’hui en France. (5) Constatant le déficit endémique de culture du débat qui marque notre pays, il note, dans un entretien à la Lettre des Semaines sociales de France lié à la parution de son livre : «Ce qui domine en France est la culture de la docilité. Or la disputatio est parfaitement légitime et féconde. Le débat a existé dans l’Eglise de France. Pensons aux décennies 1950-1970, aux grandes figures d’intellectuels catholiques, à des journaux comme Témoignage Chrétien ou France Catholique. Chez les évêques existe une vraie crainte des clivages et de la division, et la conviction que tout débat institué ne pourrait que les mettre en lumière et les exacerber. Ce qui est une erreur. Débattre permet aussi de savoir sur quoi on s’accorde.» (6)

Mais gardons-nous de penser qu’il suffise de débattre entre nous. Cela ne servira à rien si nous ne savons, parallèlement, retrouver le chemin du débat avec la société, avec le monde. Une société, un monde qui ne sont sans doute pas que perversion puisque dans son encyclique Laudato si’, le pape François nous invite à défendre la Création, non seulement à travers ce que nous en recevons du Dieu créateur, mais également au travers de la culture. Or qu’est-ce que la culture sinon ce que l’homme ajoute à la nature ? Encore faut-il que, de son côté, le «monde» veuille bien dialoguer avec les catholiques !

Pour ma part, j’ai beaucoup appris, durant ces deux années, à travers les prises de position des uns et des autres. Je crois avoir plus bougé dans ma tête et dans mon cœur que certains l’imaginent. Je me suis battu pour des idées qui me semblaient justes, comme de dire que «l’égalité des droits» des adultes ne pouvait se fonder sur la négation de «l’égalité des droits» des enfants. J’ai pu blesser et j’ai été blessé. Des amis se sont détournés sans que je puisse dire qui d’eux ou de moi restions les plus réfractaires à la réconciliation à laquelle appelle l’Evangile de Matthieu. Bien des fois je me suis surpris, dans l’intime, à demander pardon pour celles et ceux que j’aurais pu blesser et que je ne connaissais pas, dans quelque camp qu’ils se trouvent. Mais je dois à la vérité de reconnaître que si j’ai bataillé, loyalement, contre des amis de gauche ou de droite, j’ai également reçu, de ces deux bords, malgré nos divergences assumées, des témoignages d’estime qui m’ont profondément touché. Et je savais l’estime réciproque. Cette certitude nourrit en moi la nostalgie d’un débat, à ce jour impossible.

A aucun moment je ne me suis voulu un autre statut que celui de spectateur engagé. J’ai fait ce que le journaliste en moi croyait savoir faire : écrire, avec ce que mes amis disent parfois être un mélange de passion et de sagesse. Et je me reconnais modestement mais résolument, pour hier comme pour demain, dans ce que Yann Raison du Cleuziou définit comme la raison d’être d’un certain nombre de blogueurs chrétiens : «Elargir le pensable des catholiques afin d’ouvrir les possibles.» (7)

 

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  1. La manif pour tous et l’Eglise : tempête dans un bénitier, libertépolitique.com, 10 octobre 2014.
  2. Gaël Brustier, le Mai 68 conservateur, Ed. du Cerf, 2014, 230 p. Laurent Bouvet, l’insécurité culturelle, Fayard, 2015, 190 p.
  3. Laurent Bouvet, op. cit. p. 183
  4. Philippe Clanché, Mariage pour tous, divorce chez les cathos, Plon, 2014, 200 p
  5. Yann Raison du Cleuziou, Qui sont les catholiques aujourd’hui ?, DDB, 2015, 340 p.
  6. La Lettre des Semaines sociales de France, n°79, juillet 2015, p.11.
  7. op.cit. p. 255

 

© Editions Salvator – René Poujol

 

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(J’invite le lecteur de ce blogue à poursuivre la réflexion sur un débat emblématique, bien loin d’être clos, en se reportant au livre de Virginie Tellenne : L’humain plus fort que le marché (Ed. Salvator) qui contient une dizaine de contributions.)